De toutes leurs branches
ils se dénudent
s’embrasent
silencieusement
avant la Grande Solitude
de l’Hiver, de son baiser, qui glace
leurs troncs
leurs sèves
leurs Coeurs
et puis qui
Souffle l’Âme
(Henri Marien)
De toutes leurs branches
ils se dénudent
s’embrasent
silencieusement
avant la Grande Solitude
de l’Hiver, de son baiser, qui glace
leurs troncs
leurs sèves
leurs Coeurs
et puis qui
Souffle l’Âme
(Henri Marien)